Présentation de Ranfan

Ranfan… Grande enfant à multiple facettes. Sans son attirail, on aurait tendance à avoir du mal à choisir entre être charmé par ses trais d’anges, ou avoir peur de son expression colérique qui trône sur son visage.
Ranfan a de longs cheveux noirs, s’arrêtant juste sous sa nuque. Pourtant, comme si elle les reniait, elle les attache toujours en chignon sur le sommet de son crâne, ne laissant qu’une frange lui cachant parfois les yeux et deux mèches encadrées son visage blanc. Ses trais sont fins, et tirés de telle façon que ses yeux noirs sont légèrement plissés naturellement. Elle possède un nez droit et des lèvres pâles, qui ne montre rien à la souffrance qu’elles éprouvent lorsque Ranfan s’exerce à son tic favoris : se mordre la lèvre. Elle semble toujours en colère, surement essaye-t-elle de casser ses trais avec ceci pour perdre cette féminité physique qu’elle maudit ? Quelqu’en soit les raisons, et du moins, si c’est la précédente, celle-ci se trompe. Même quand la colère déchire son visage, elle garde toujours une certaine douceur qui fait d’elle une femme magnifique.

Il fut évoquer la « peur » plus haut. Celle-ci n’est pas du seulement par les trais froids du visage de Ranfan, mais surtout à cause de son bras gauche. Celui-ci est entièrement remplacé par un bras mécanique doté d’une lame dans l’avant bras. « Effrayant » est le mot le plus approprié.
Niveau corpulence, même si elle souhaite le nier, Ranfan reste une femme. Ses formes sont donc délicates, ni trop plates, ni trop volumeuses.Sa poitrine est un peu « écrasée » par une pression qu’elle fait subir en entourant un long ruban blanc autour de celle-ci. Ce léger haut est délimité entre au dessus de sa poitrine et juste en dessous, à mi chemin vers le nombril. Mais ce n’est pas ceci qui cache définitivement ses formes.
Alors, Ranfan joue sur les autres vêtements qu’elle porte par-dessus. Un grand pull noir au col un peu roulé et informe ne laissant aucunement voir les formes formés par sa féminité ou par son bras mécanique. Elle porte une mintaine à la main droite, pour utiliser ses doigts avec précision, et un gant à l’autre main pour cacher l’acier.
Pour le bas de son corps, c’est un pantallon de la même trampe que ce pull qui s’en affaire. Il ne s’arrête que sur des bottes noires, souples et plates, qui lui permettent d’effecuter n’importe quel mouvement sans en éprouver un mal.
Cette tenue dispose aussi d’une capuche noire, bien trop souvent remonté vers le visage de Ranfan. Et pour combler le tout, la jeune femme se cache le visage avec un masque blanc aux motifs rouges et noirs. Un masque terrifiant qu’elle n’enlève presque jamais.

Dans ces conditions, quand elle est entièrement vêtue, rares sont ceux qui y voyent en dessous une jeune femme. D’autant plus que sa voix est largement androgyne. Et ceux qui découvre son bras mécanique ne peuvent s’imaginer que c’est une femme qui se trouve derrière. Sans oublié les diverses cachettes qui lui servent à ranger ses armes.




Si Ranfan semble froide, distante et haissant toutes formes de vies… C’est parce qu’elle est ainsi.
Pour elle, la vie est d’un ennui des plus totales, et les gens d’une inutilité profonde. Elle ne se sent aucunement supérieur. En réalité, Ranfan déteste tout et tout le monde, en particulier elle-même. Mais depuis bien longtemps, elle a conscience qu’il ne faut pas pleurer sur son sort. Tout dans ce monde l’indiffère. En réalité, elle n’agit que pour ce qu’elle considère être « juste » et sortant de l’horreur qu’elle voit. C’est pourquoi elle choisi le camp des BlackEagles.
Mais alors, n’est-elle qu’une masse de haine ? Pas vraiment…

En réalité, Ranfan est une grande mélancolique. Pour elle, il n’y a aucun hasard, juste la fatalité. Et malgré tout, elle possède une âme. Cela semble bien impossible, certes, mais pourtant, c’est le cas. Elle ne peut pas haïr l’innocence même. C’est pourquoi elle serait incapable de détester un enfant. De même mesure, c’est une musicienne. Ou plutôt, une chanteuse. Ce n’est que dans la musique qu’elle arrive à montrer ses vrais sentiments, ses vraies émotions.
Toujours une créature sans cœur ?

S’il y a bien une chose à laquelle elle ne croit pas, c’est l’amour. Rien n’est plus éphémère que ce sentiment sans queue ni tête. Alors, pourquoi s’y livrer ? Cela étant, elle ne tient ses propos car pour elle, les liens n’ont aucun sens. Se lier à quelqu’un n’a aucun sens. Ce n’est qu’une jeune femme qui a été détruite interieurement.

Comme dit plus tôt, Ranfan se déteste. Elle a l’impression d’être la source de malheur. C’est surtout ça la source de tout. Sa haine pour elle-même la pousse à repousser les autres pour ne pas leur imposer sa personne.

Au fond, c’est la solitude qui a détruit cette jeune femme. Et c’est encore elle qui la ronge. Mais comment en sortir quand celle-ci est devenue la seule et unique amie d’une sorcière aux apparances d’anges déchuts ?

Mais s’il y avait des qualités à emmettre à son sujet, ce serait surtout son courage et sa détermination. Pour elle, rien ne se fait sans sacrifice, et elle a toujours travaillée d’arrache pied.




Chaques choses à un commencement n’est-ce pas ? Celui de Ranfan commença à Koyzoku dans la cité du Printemps. Elle naquit d’une longue famille de sorcier, les Kuran. Elle était surtout la dernière enfant de la famille, et surtout, la seule fille. Sa mère mouru à sa naissance, emporté par un mal qu’elle n’arrivait pas à guérrir. C’est suite à cet incident de la providence que la vie de Ranfan fut un enfer. Un enfer avant même d’avoir commencé. Voici quel était le seul et unique avenir de Ranfan.

Son père était un maniaque paranoïaque. Ceci était à la fois sa plus grande faiblesse et sa plus grande force. S’il avait gardé Ranfan et l’avait élevé un minimum, ce n’était que pour ne pas perdre son honneur. Mais pour lui, cette enfant n’était pas faite pour exister. S’il ne l’avait pas vu naître, il aurait pu croire qu’elle était la fameuse déesse qui avait fait partie d’une rumeur. Mais rien. Alors, à ses yeux, cette enfant était lapreuve même que le mal existait. Une enfant à malheur.

Quand ce qui nous a élevé n’était que des coups multiples à la moindre erreur et un regard pesant qui formait une boule dans la gorge, il est impossible d’être vraiment normale. Pourtant, quelque soit le temps, Ranfan aima toujours ses trois frères et son père, qui eux ne portaient que de la haine pour elle.

Elle fut soumise à la pression très jeune. « Si tu ne travailles pas, tu ne manges pas ! » lui répétait sans cesse son père dès qu’elle attint un âge pour l’utiliser tel un objet. Dès l’âge de 6 ans, elle ne s’occupait que de ses frères et de son père. Les premières années, c’était l’horreur. Ranfan enchainait maladresse sur maladresse, qui ne lui vallait que du mal. Elle en souffrait, même si elle ne montrait rien. Elle regardait souvent par la fenêtre en voulant rejoindre ces gens, marcher sous le soleil. Mais elle n’eut jamais le droit de rejoindre la Terre sous le ciel.

Ranfan avait consience que se morfondre ne servait à rien pour ceux qu’elle aimait. Elle travaillait dur, faisait le moins d’erreur possible. Cette évolution progréssive qui s’effectua entre l’âge de 6 et 11 ans ne passa pas innaperçue aux yeux de sa famille. Même s’ils ne l’acceptaient toujours pas parmi eux, la jeune fille n’était même plus maltraité comme une esclave. N’y voyant que de l’espoir, Ranfan a toujours continué sur cette voie.

Elle avait perdu son enfance, et n’était devenu qu’une machine au souhaits de sa famille. Cherchant toujours le coté pratique, elle développa totalement la plupart de ses facultés. Elle n’était qu’un outil, et ses frères en profitaient [Nda : Pas dans ce sens, bandes de pervers !]. Ils avaient décidé d’un commun accord que leurs devoirs seront fait par la jeune fille. Sous les ordres de ses frères, elle s’était mise à étudier pour faire leur travail. C’est surement un des seuls ordres qu’il ne fallait pas lui donner : s’instruire.

Dès lors, elle comprit qu’on se jouait d’elle. Elle se disait les aimer, mais eux ne faisaient que l’utiliser. Et elle ne savait pas pourquoi. Elle se mit à penser que c’était parce qu’elle était différence… Le fait qu’elle était une femme peut être ?
C’est surement là qu’elle renonça à sa féminité. Cet évènement ne passa pas inaperçu aux yeux de son père, qui la questionna à ce sujet. Elle répondit en toute sincérité.
Après avoir un reçu un sermont pour s’être fait avoir par ses frères, il lui expliqua la vrai raison du refut. Peut être n’aurait-il pas du.

Si le problème venait de son sexe, elle pouvait faire des efforts, mais quand celui-ci vient de sa propre existance, comment changer ? C’était la première fois qu’elle pleura vraiment. Elle s’enferma dans le grenier qui lui faisait office de chambre, et y ouvrit la fenêtre du toit. Elle ne l’avait jamais fait, de peur d’être réprimendée. Mais maintenant, elle n’avait plus ce genre de crainte. Elle s’en fichait. Elle avait l’impression de n’avoir été qu’une marrionnette depuis le début. Elle s’assit sur le toit et regarda enfin le ciel en face. Elle n’était rien…

Quelle triste soirée… Surtout pour une soirée qui devait fêter ses 14 ans. 14 ans d’existance minable. Comme elle se détestait… Elle ne pouvait comprendre comment elle avait pu être bernée à ce point….
La jeune femme décida de rentrer dans sa chambre miteuse afin de dormir : le sommeil sera la meilleure des réponses. Elle ferma la fenêtre et se coucha sur le lit pour aller au pays des songes, parcemés de cauchemars tous plus horribles les uns que les autres.

Vers le milieu de cette nuit, une étrange odeur réveilla Ranfan et l’allarma. C’était l’odeur de fumé, mais aussi, de graisse rongés. Un feu ??
Elle sortit de sa « chambre » et essaya de retrouver les membres de sa famille. Le feu était lumineux, la poussière des poutres lui allait dans les yeux. Elle s’étouffait presque. Elle entendait les cris. Elle essaya d’aller vers ces cris, mais une lourde poutre porteuse s’écroula et assoma la jeune femme. Plus rien.

Quand elle se réveilla, elle était dans une grande chambre blanche. Elle avait très mal à la tête, une douleur affreuse et saisissante. Elle porta sa main droite sur son visage. Elle sentait celui-ci recouvert de bandage. Elle fut saisit d’une crise de panique et tenta d’amener son autre main sur son visage pour avoir confirmation. Mais rien ne vint. Elle jeta un regard alarmé. C’était simple : elle n’avait plus de bras. Elle hurla d’effroit, ne pouvant pas y croire. Les medecins vinrent la retrouver dans la chambre. Elle se mit à pleurer et demanda une explication.Les deux hommes présents ne s’avèrent par où commencer. Ils annoncèrent finalement.
-Quelqu’un a incendié votre maison. Ceux qui ont étint le feu on réussi à vous sortir des débrits, vous étiez coincés sous une poutre. Vous perdiez beaucoup de sang et vous avez été brûlé superficiellement. Ca fait deux semaines que vous étiez dans le coma.
Ranfan était totalement paniquée.
-Et mon bras ??? et les autres ???
Les deux médecins se regardèrent. C’est l’autre qui prit la parole, d’une voix calme.
-Vous faisiez une hémorragie interne trop importente. Le sang envoyé par le cœur allait vers le bras et n’allimentait plus le reste de votre corps. Il a fallu vous emputter. Quant-au autre… Ils sont tous morts.
Ce fut l’effondrement total.

Dans les semaines qui suivaient, Ranfan ne mangea plus. Elle ne se préocupait de plus rien. Ellen’avait plus rien. Après tout, peut être portait-elle réellement malheur ?
Mais dans son désespoir, dans le silence… Une vie est trop longue pour ne penser qu’à soi. « Quelqu’un a incendié… » c’était les mots du médecin. Qui ? Qui aurait ait du mal à sa famille ? Un jour, elle se redressa de son lit et réclama une chose qu’elle avait lu dans des livres. Une prothèse mécanique pour son bras gauche. Malgré son jeune âge, on accepta.

Elle souffrit énormément, mais ce n’était rien après ce qu’elle avait perdu. Elle s’était juré de comprendre pourquoi on avait tué sa famille. Mais au fond, se sentant détruite et trahi, elle se persuada aussi que c’était pour savoir qui avait commit cet acte. Curiosité, surement ?

Au bout d’un an, elle réussi à se mouvoir convenablement et sans douleur avec son nouveau bras. Un miracle selon les médecins. Elle décida donc de quitter l’hôpital.
Mais où aller ? Elle ne connaissait rien à cette vie à présent.

Âgée donc de 15 ans, Ranfan essaya de se faire une place. Elle abandonna son nom de famille. Elle entendit parler d’une rumeur sur la fin du monde. Elle suffoqua quant elle l’entendit. Une chose qu’elle ne voulait vraiment pas, c’est que ce monde disparaisse. Elle s’en sentirait fautive… C’est pour cela que, instinctivement, elle rejoint les BlackEagles.

Elle s’entraina sans relâche pour devenir forte. Son habitude de se cacher se faisait toujours. Elle faisait peur aux gens, mais elle agissait pour ce qu’elle considérait juste, dans la solitude la plus absolut. Elle se découvrit des atouts, ou plutôt, des «pouvoirs ». Elle fit installer une lame dans sa prothèse, pour mieux combattre.
Son but ? Retrouver ceux qui avaient commit le crime qui a décimé sa famille. De plus, elle avait apris par le rapport de décès : « 3 morts, 1 blessé ». L’ennui ? C’est qu’ils étaient 5 en tout. Un membre de sa famille avait survécu ? Elle se devait de le retrouver. Et agir pour le bien de ce monde.

Tout d'abord.... BIENVENUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE MA MIL-CHAN !!!!!!!!

Ensuite ... YEAAAAAAAAAAAH UNE BLACKEAGLES ! +_+ Oupss pardon c'est vrai que je suis une magistrat et que je ne dois pas prendre de partie ... Motus et bouche cousus... Enfin non ! il faut qu'elle soit décousu ma bouche pour te dire que J'ADOOOORE ta présentation x) Euh petit problème que j'avais pas vu u_u nialors ... "lame de vent" je ne le vois pas dans les pouvoirs des soldats --' donc si tu veux parler du pouvoir qui va avec l'air c'est "bourrasque d'air". Sinon tu as juste ça à modifier ! Le reste est parfait !

Bon jeu !

Bienvenue Mill-Chan !

J'adore ton histoire et trop content que tu nous ais rejoins, je n'y croyais plus !
Puis, dans les descriptions, t'as fais exprès d'être le genre de femmes que Damon n'aurait pas à avoir ? Avoue ! Allez crache le morceau ! **Se reçois du mucus dans la gueule**

Sinon, tu es vraiment douée pour faire des histoires tragiques, on se voit aux RP (huhu)

Voila, j'ai changé le pouvoir "lame du vent" par "Premiers soins"
Donc, normalement, c'est bon

Que veux-tu dire par "le genre de femme que Damon n'aurait pas à avoir"?
Tu m'expliqueras sur MSN u.u (a moins que c'est ce dont on a déjà parlé??)

Merci pour les bienvenus, à bientôt sur RP!

C'est parfait ma chérie =D

Tu es donc officiellement VALIDÉE !!

Bon jeu ^^

NYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN

ma tite cousine adorée XD

hey hey ^^ !!( comme d'habitude tu me fais lire des lignes et des lignes x))mais ta pésentation est parfaite O.O apparament tu t'étais trompée à quelques endroits et pis ta réparé donc c'est bien.

Waalaa bienvenue encore ^^